Soins de santé: un coût de plus en plus difficile à assumer
Dans l’étude mise en avant par la Fédération des étudiants francophones (FEF), 40 % des étudiants souffriraient aujourd’hui d’une précarité subjective, liée à des problèmes de santé physiques ou psychologiques. Selon un sondage réalisé en octobre 2020 auprès 7.700 étudiants, 80 % d’entre eux se sentiraient psychologiquement fragilisés par le contexte de la crise sanitaire. La précarité étudiante se manifesterait également dans le renoncement aux soins de santé (examen médical, achat de médicaments) mais aussi par la non-prise en charge de la santé psychologique comme la dépendance à des substances, des problèmes de sommeil ou de stress, les sentiments d’isolement ou d’épuisement. L’étude réalisée par le bureau d’étude indépendant Sonecom révèle ainsi que 15 % des étudiants interrogés ont reporté ou renoncé à des soins médicaux pour raison financière. Dans la consultation étudiante lancée par la FEF, plusieurs axes prioritaires ont ainsi été dégagés en arrière-plan de la diminution du minerval, des frais de logement et de transport.

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