C’est du belge: «La tension narrative, quoi de plus important?», se demande Katia Lanero Zamora
Katia Lanero Zamora nous emmène dans un Panîm imaginaire, écartelé entre familles nanties et Ongles sales, où la révolution de « La Machine » est en marche. Efficace. Lisez le premier chapitre.


Colin Cabayol est un riche propriétaire de Panîm. Sa femme est morte, il s’est remarié. Il a deux fils de sa première union. Andrès, l’aîné, et Vian. Deux fils qui s’adorent. Unis contre la sévérité guindée de la maison Cabayol. Prêts à courir les champs avec les enfants des Ongles sales, les paysans et les ouvriers qui travaillent pour les maîtres. Une société où quelques-uns ont tout et la majorité n’a rien. La révolution gronde. Mais les riches s’accrochent à leurs privilèges. Alors, la Machine s’avance, qui prône une société collectiviste, solidaire, qui donne le toit, le pain, l’éducation et l’émancipation à chacun. Andrès préfère le village au château. D’ailleurs, il aime Léa, elle est enceinte de lui, il veut se battre à ses côtés, avec la Machine. Contre son père et ses semblables. Vian, lui, ne rêve que de gloire. Il ne veut pas décevoir son père, il va rejoindre les troupes sur le front d’Azomar où l’invisible ennemi l’attend.

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