Liberté de la presse: les femmes, principales cibles des violences à l’égard des journalistes
2020, année noire pour la liberté de la presse dans le monde. En première ligne, les femmes, comme la Biélorusse Svetlana Alexievich ou la Chinoise Zhang Zhan, auxquelles la VUB, l’ULB et Bozar dédient leur événement « Difference Day ».


Tanja Milevska, correspondante de l’agence de presse de Macédoine du Nord, MIA, à Bruxelles : victime de harcèlement en ligne, de menaces de mort et de viol. Zakline Tatalovic, journaliste à la télévision serbe TV N1 : victime de menace et d’insultes. Liseron Boudoul, journaliste à TF1 : victime de menaces et d’insultes. Angela Caponnetto, de la Rai News 24 et Nello Scavo, du journal Avvenire : pareil, avoir dénoncé de fausses informations sur les migrants à Lampedusa.
Vanja Stokić, rédactrice en chef du portail d’information E-trafika en Bosnie-Herzégovine, a reçu un message dans lequel l’auteur menaçait de « décapiter » les migrants et tous ceux qui les accueillaient. Müyesser Yıldız, chroniqueuse à Oda TV : victime d’une campagne de dénigrement lancée sur Twitter par le ministre turc de l’Intérieur, Süleyman Soylu.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Une biélorusse et une chinoise, tant qu'il n'y a que deux exemples (ciblés, les exemples!) tout va plutôt bien. Faut aussi reconnaître que ces deux journalistes ne clamaient pas haut et fort leur soutien inconditionnel à l'apothéose yankee.