Profilage ethnique, violences…: la police belge mise à l’index lors du grand oral de l’ONU
La Belgique a passé le grand oral de l’ONU sur la question des droits humains. Dans le sillage de l’affaire Chovanec ou encore de quelques manifestations musclées durant la pandémie, la police a constitué un sujet chaud.


La Belgique a passé mercredi son grand oral sur le respect des droits humains. Il est revenu à Sophie Wilmès (MR), avec sa casquette de ministre des Affaires étrangères, de défendre devant des dizaines d’Etats membres du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies le bilan belge en la matière.
L’exercice n’est pas anodin, il se tient une fois tous les cinq ans (depuis 2008). Son nom ? L’Examen périodique universel (EPU). Chaque Etat membre y défend devant ses pairs son approche du respect des droits humains et reçoit des recommandations.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir13 Commentaires
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Posté par curto calogero, jeudi 6 mai 2021, 21:34
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Posté par DENIS JEAN, jeudi 6 mai 2021, 12:00
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Posté par DENIS JEAN, jeudi 6 mai 2021, 12:00
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Posté par Demaseure Thierry, mercredi 5 mai 2021, 20:48
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Posté par Debersaques Bart, mercredi 5 mai 2021, 20:00
Plus de commentairesIls devraient mètrent le maximum de leurs énergie, a poursuivre tout les trafiquants de drogue qui can crène notre société et non a verbaliser des jeunes étudiants qui seront demain parmi nos décideurs .
Il est évident que pour que les gens se taisent il suffit de les matraquer. Il suffit de voir comment on a fait taire les gilets jaunes (vous savez ces aide-soignant(e)s, infirmièr(e)s et autres "1er(e)s de corvées" qui se tuent à la tâche et qui ont le culot de demander un minimum de considération et un salaire décent). A remarquer que, comme le dit une expression allemande si je ne m'abuse, le poisson commence toujours à puer par la tête. Les policiers ne font que du mimétisme finalement. L'Histoire nous prouve que l'exécutant n'est que le reflet de ceux qui commandent. Conclusion intervention de l'ONU. On peut en être honteux!
Il est évident que pour que les gens se taisent il suffit de les matraquer. Il suffit de voir comment on a fait taire les gilets jaunes (vous savez ces aide-soignant(e)s, infirmièr(e)s et autres "1er(e)s de corvées" qui se tuent à la tâche et qui ont le culot de demander un minimum de considération et un salaire décent). A remarquer que, comme le dit une expression allemande si je ne m'abuse, le poisson commence toujours à puer par la tête. Les policiers ne font que du mimétisme finalement. L'Histoire nous prouve que l'exécutant n'est que le reflet de ceux qui commandent. Conclusion intervention de l'ONU. On peut en être honteux!
Moi, en bon Belge caucasien, je ne me ferai jamais contrôler en rue, même si j'ai 3 kg de cocaïne sur moi (ce qui n'est pas le cas, je vous rassure). D'autres, plus "racisés", se feront contrôler plusieurs fois par jour et parfois par les mêmes policiers. Il ne faut pas se mentir, il y a un problème. Mais, ce problème de départ est aussi d'ordre social qui induit des comportements délictueux chez certains. Donc, on cible cette population défavorisée qui, légitimement en a marre. Mais, quel est le bénéfice de ce ciblage, si ce n'est proche de zéro ? Ceci exposé, se faire critiquer sur les Droits humains par la Russie et l'Arabie Saoudite, cela relève-t-il du surréalisme à la Belge ?
Ceci n'est pas une réalité en Belgique. Non, Non, Non. La violence policière n'augmente pas en Belgique. Non, Non, Non. Infractions a la vie privé en Belgique. Non, Non, Non. Infractions aux Droits et libertés en Belgique. Non, Non, Non. Regarde a gauche, y a un joli papillon; qu'est il est beau. Fantastique.