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«La Boum 1» en correctionnelle: «On ne pensait pas qu’on faisait quelque chose de mal»

Au tribunal correctionnel de Bruxelles, le prévenu, 23 ans, s’est retrouvé malgré lui comme un porte-parole de la détresse estudiantine. Le ministère public réclame 200 heures de travail contre lui, les parties civiles demandent plus de 20.000 euros.

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Temps de lecture: 5 min

Ce jeudi, au tribunal correctionnel de Bruxelles, était examiné le dossier du seul jeune faisant l’objet d’une citation accélérée à la suite de « La Boum 1 », qui avait rassemblé plusieurs milliers de fêtards, le 1er avril dernier, au bois de la Cambre. On reproche à cet étudiant en dernière année d’ingénieur, âgé de 23 ans, des faits de rébellion armée en bande et de détention d’armes (en l’occurrence, une branche d’arbre et des bouteilles ramassées au sol).

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9 Commentaires

  • Posté par Louise Guillaume, jeudi 6 mai 2021, 21:40

    Quand on ne respecte pas les règles nous faisons quelque chose de mal. Si on ne comprend pas cela alors il faut consulter un psychologue ou bien on a reçu une mauvaise éducation.

  • Posté par Crutzen Bernard, jeudi 6 mai 2021, 23:06

    Je suppose que vous parlez du gouvernement, qui enfreint les règles de la constitution depuis un an bientôt ?

  • Posté par Staquet Jean-Marie, jeudi 6 mai 2021, 19:01

    Je constate qu’au royaume de l’Etat de droit, la justice indépendante sait se montrer très rapide dans certains cas et beaucoup plus lente dans d’autres...

  • Posté par Oscar Pascal , jeudi 6 mai 2021, 20:16

    Tout à fait, il y a priorités et priorités. Partisan de l'empirisme et de l'observations, je constate que les moyens sont là quand les autorités le veulent ( police et justice ), c'est juste question de priorisations. Avant que des voyous qui commettent des actes innommables et odieux et tous les trafics qui vont avec aillent en correctionnel et même la nuit au poste, et en comparution immédiate, il en faut beaucoup des délits brutaux. Tout comme je me souviens d'une année où après un match de football joué dans un autre pays, après la victoire le centre de Bruxelles ravagés et d'innombrables magasins pillés. La police il fallait chercher après, et il n'y avait ni cavalerie ni autopompe.

  • Posté par VERDOODT-COLART Jean-Marie, jeudi 6 mai 2021, 18:01

    A chacun sa version ! Mais aussi les commentaires débiles que l'on peut lire ci-dessous !

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