Article réservé aux abonnésJournaliste au service Culture
Par Thierry ColjonTemps de lecture: 1 min
Laura Cahen, c’est d’abord une voix, claire et haut perchée. Très joliment mise en valeur, dépouillée, par Dan Levy, la moitié de The Do. Laura, ensuite, c’est une plume qui tisse de belles histoires échevelées, battues par le vent, sous « La complainte du soleil », « Les ronces » et un « Coquelicot » chanté avec Yael Naim. Les corps sont nus dans « Brume électrique », « Poussière » et « La porte ». Ce disque est celui d’un bel été torride du déconfinement, un air de liberté et de chaleur chassant la peine. Un régal !
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