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Cinq idées reçues sur le bilinguisme en Belgique passées à la loupe

Le possible rejet d’Enzo Scifo pour un poste d’entraîneur national pour maîtrise non suffisante du néerlandais relance le débat sur le bilinguisme en Belgique. Petit tour d’horizon de l’état des clichés linguistiques.

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Journaliste au service Politique Temps de lecture: 4 min

I ch mich, zu Ihnen sprechen zu können, ik ben blij dat ik mij tot u kan richten, je suis heureux de pouvoir m’adresser à vous »  : chaque année, le roi des Belges se plie à un exercice linguistique pour souhaiter de bons vœux ou une belle fête nationale à ses compatriotes dans toutes les langues officielles du pays. Français, néerlandais, allemand : dans une Belgique de plus en plus fédérée, ce sont surtout les deux premières langues qui occupent le centre des débats. Les clichés sont nombreux : n’est-ce pas Yves Leterme, alors ministre-président flamand, qui s’était fendu en 2006 d’un « les francophones des communes à facilités ne sont pas en état intellectuel d’apprendre le néerlandais »  ?

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