Camille De Taeye à l’heure des retrouvailles
Peintre pour le moins dérangeant, Camille De Taeye nous quitta en 2013 au terme d’une vie bien remplie. Aujourd’hui, l’œuvre refait surface…
Jusqu’au 10 juillet au Salon d’Art (Saint-Gilles).

Après avoir perdu femme et enfants, la première au seuil de la maturité et les autres à la sortie de l’enfance, De Taeye avait fait de la peinture sa nécessité vitale, son exutoire poétique. Prenante, interpellante, l’œuvre refit surface en 2018 avec l’entrée d’un Fonds De Taeye à la Fondation Roi Baudouin par la volonté de sa deuxième épouse, Marie Buisseret. Ce fut la première étape du sauvetage d’un univers pictural qui naquit à lui-même au début des années 80, en pleine époque de déni de la peinture. Un déni dont le peintre n’avait cure et le temps lui donna raison.

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