Le contrôleur nucléaire nous met en danger

Un audit approfondi jette le discrédit sur l’Agence fédérale de contrôle nucléaire belge. Tout est mis en cause, jusqu’à l’indépendance de l’Agence.

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Editorialiste en chef

Par Béatrice Delvaux

Publié le 25/04/2016 à 07:55 Temps de lecture: 3 min

Si les Allemands se font traduire Le Soir de ce lundi, ils devraient commander illico les matériaux pour construire un mur de confinement à la frontière entre nos deux pays. Au vu des informations que nous révélons ce matin, il y a en effet fort à parier que nos voisins, déjà inquiets, ne se contenteront plus de quelques tests complémentaires pour vérifier la réalité de notre état de santé nucléaire. Car la crédibilité de celui qui, en Belgique, leur a « vendu » depuis des mois notre totale sécurité, vient de voler publiquement en éclat.

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2 Commentaires

Posté par Jean-Luc Léonard, lundi 25 avril 2016, 18:05

"Hormis l'expertise de son staff, tout est mis en cause..."? Qu'est-ce c'est que ce jugement à l'emporte-pièce? Ce qui compte c'est justement et uniquement l'expertise du staff de l'agence. Ses états d'âmes ou les états d'âme des politiques, on n'en a strictement rien à f...

Posté par Bernard BLAVIER, lundi 25 avril 2016, 14:28

Je m'étonne des analyses actuelles de Madame Delvaux concernant divers sujets d'actualité et de son agressivité. Il n'en était pas de même lors des gouvernements précédents à qui nous devons la situation présente. Tout ne se fait et surtout ne se défait ni se corrige en un seul jour.

Posté par Jean-Luc Léonard, lundi 25 avril 2016, 18:05

"Hormis l'expertise de son staff, tout est mis en cause..."? Qu'est-ce c'est que ce jugement à l'emporte-pièce? Ce qui compte c'est justement et uniquement l'expertise du staff de l'agence. Ses états d'âmes ou les états d'âme des politiques, on n'en a strictement rien à f...
Posté par Bernard BLAVIER, lundi 25 avril 2016, 14:28

Je m'étonne des analyses actuelles de Madame Delvaux concernant divers sujets d'actualité et de son agressivité. Il n'en était pas de même lors des gouvernements précédents à qui nous devons la situation présente. Tout ne se fait et surtout ne se défait ni se corrige en un seul jour.