Marc Wilmots, ou l’histoire d’un triomphe
En deux ans, un entraîneur choisi par défaut a obtenu les meilleurs résultats de l’équipe nationale depuis 1986. « Le Soir » vous raconte les coulisses d’un miracle.
Mardi 5 juin 2012, vingt heures. Philippe Collin monte dans sa voiture et rentre à Bruxelles. Il est à la fois soulagé et songeur. Il vient de quitter Marc Wilmots. Les deux hommes ont trouvé un accord pour que le Hesbignon, entraîneur fédéral « ad interim » depuis un petit mois et le départ minable – c’est le mot le plus approprié – de Georges Leekens vers Bruges, signe un contrat de deux ans et tente donc d’emmener les Diables rouges au Brésil.
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