Impôt minimum: un accord mondial qu’il reste à bâtir
Les sept grandes puissances mondiales ont défini entre elles les premiers contours de ce que pourrait constituer une imposition minimum mondiale. Des questions sensibles restent à trancher… à 139 Etats.


C’est un accord historique et nécessaire pour écrire la suite de l’histoire de cette réforme, mais ça ne veut pas dire que c’est gagné, ce qui reste à faire est complexe avant d’obtenir un accord mondial sur une réforme de la fiscalité des entreprises, y compris l’introduction d’un taux minimum. Les ministres des finances du « G7 » (Etats-Unis, Japon, Royaume-Uni, Allemagne, France, Italie et Canada) ont arrêté les premiers contours possibles de cette réforme.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
"les pays du G7 prônent que cela touche 20 % de la marge bénéficiaire des sociétés au-delà de 10 % de bénéfices". - Amazon: le taux de bénéfice est de 6,3 % ; et donc: pas touché... - - - "les Européens ... voudront s’assurer que les géants du net soient bien capturés dans ces nouveaux filet". - Bonne chance...
Ça sonne quand même un peu beaucoup « les perdants de la mondialisation qui avaient eux-mêmes voulu la mondialisation veulent maintenant réécrire les règles ». À travers les demandes d’exemptions qui pointent déjà, on voit toute la sincérité de la démarche...
L idée est noble, pour sa mise en place on en reparle dans dix ans?....