«Petit samedi»: bouleversant
Paloma Sermon-Daï filme sa mère et son frère toxicomane, laissant surgir à l’écran l’authenticité et la force de cette relation unique mais aussi le mal-être de chacun.


Une mère, un fils. Une histoire de famille. Une histoire de douleur, avec un fils perdu et une mère en panique. Une histoire de tendresse aussi, de dialogue, de fil tendu. Malgré tout. Paloma Sermon-Daï, qui découvrit « l’art parlé » à l’athénée d’Andenne, filme sa mère et son frère toxicomane, laissant surgir à l’écran l’authenticité et la force de cette relation unique mais aussi le mal-être de chacun. Tout simplement. Sans jamais en rajouter. C’en est bouleversant.
Le choix du documentaire s’est imposé de lui-même. « Au début, nous a raconté Paloma Sermon-Daï (fortement marquée par le cinéma de Bruno Dumont, de Paul Thomas Anderson, de Chantal Akerman), je leur ai demandé de se raconter. J’ai constaté qu’ils avaient une facilité à le faire et qu’ils abordaient l’intime de la bonne façon. Ce sont eux qui m’ont inspirée. »

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