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Les Racines élémentaires de Jaco Van Dormael: «En Allemagne, j’étais der Franzose. En Belgique, je suis devenu le boche»

Les films de Jaco Van Dormael sont travaillés par la thématique de l’identité. Une question qui résonne fort chez le cinéaste, qui nous raconte une enfance bâtie sur un double malentendu. Et une étoile d’étranger au monde, qui a peut-être orienté son destin artistique.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 7 min

On le découvrait il y a juste trente ans, avec Toto le héros, son premier long-métrage. Jaco Van Dormael se fait rare au cinéma. Il n’en est que plus précieux. Ces dernières années, on l’a plus souvent vu sur scène, s’intéressant à l’opéra, au théâtre (tout récemment, au KVS), s’essayant à la bande dessinée (avec François Schuiten, Thomas Gunzig et Laurent Durieux) ou réinventant avec sa compagne, la chorégraphe Michèle-Anne De Mey, la magie du spectacle vivant (Kiss & Cry, Cold Blood).

Nous l’avons rencontré chez lui, à côté d’un arrêt de tram ucclois indiquant pour destination « Fort Jaco ».

Je ne serais pas devenu qui je suis si…

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1 Commentaire

  • Posté par Surmont Willy, samedi 12 juin 2021, 20:28

    Pas de souci, beaucoup ont connu ça! Étant gamin à Lier, j'étais ''stomme Waal'' et à Ath j'étais ''flamin des gâtes''. Ça ne m'a pas empêché depuis 70 ans de me sentir Belge!!

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