Vincent Langendries, Diables au corps
Le journaliste de la RTBF commente tous les matchs des Diables rouges de l’Euro. Moins discret qu’au début de sa carrière, Langendries laisse de plus en plus parler ses émotions et sa fibre patriotique.


A 52 ans, on ne se refait pas. Ce samedi, à Saint-Pétersbourg, quand les 11 Diables sélectionnés par Martinez feront leur apparition sur le terrain, Vincent Langendries, à son poste de commentateur, frétillera certainement de bonheur. Enthousiaste comme au premier jour, le journaliste s’est vu confier la responsabilité de commenter l’ensemble des matchs des Diables rouges à l’Euro. Une première pour lui, qui est pourtant un habitué des grands rendez-vous sportifs, en football mais aussi en athlétisme. La Coupe du monde en Russie, en 2018, il y était. L’Euro en France, aussi. Le jour où Nafissatou Thiam a été couronnée à l’heptathlon aux Jeux olympiques, en 2016, il était là également. Et sur le balcon de l’hôtel de ville de Bruxelles aux côtés des Diables rouges, face à la Grand-Place noire de monde après la Coupe du monde au Brésil ? Aussi.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Eh bien non... Vincent Langendries, n'est pas un journaliste. C'est même la honte de la profession. Sur aucune chaîne vous n'entendrez un commentateur dire " nous" lorsqu'il commente les phases de l'équipe de sa propre nation. C'est la base de la déontologie, et même Thierry Roland n'avait jamais osé l'enfreindre. Le fils à papa Langendries n'a aucun vrai talent, à part celui de s'emmêler les pinceaux, plus occupé à triturer la fibre patriotique que les faits du terrain... Il me file régulièrement la nausée, et je ne suis pas le seul. Mais il n'est pas le seul, hélas. Je vois se développer dans le plat pays une sorte de chauvinisme fat, qui endort. Aucun esprit critique, pas de respect pour l'adversaire... En fait tout ce que l'on déteste chez des nations dominantes, mais qui elles, ont déjà gagné des trophées. Tubize, morne plaine.