Romelu Lukaku, de bouc émissaire à leader adulé
Si Roberto Martinez ne se fait guère de mouron en l’absence d’Eden Hazard et Kevin De Bruyne pour affronter la Russie ce samedi (21 h), c’est parce qu’il sait qu’il possède en Romelu Lukaku, un avant-centre au sommet de son art.

C’est l’histoire du vilain petit canard. Celui qu’on pointe du doigt parce qu’il est différent. Qu’on incrimine quand il faut désigner un coupable. Longtemps, trop longtemps, Romelu Lukaku a été la cible privilégiée des « haters » chez les Diables rouges. Des observateurs au grand public, ils étaient nombreux à ne voir que ses défauts, sa technique limitée, ses pertes de balle, ses mauvais contrôles et ses occasions manquées. A ne regarder que par un seul côté de la lorgnette. En oubliant souvent la jeunesse d’un garçon qui a frappé aux portes de l’équipe nationale à 16 ans, 9 mois et 18 jours. Soit le troisième joueur belge le plus jeune de l’histoire derrière Fernand Nisot (16 ans et 19 jours) et Anthony Vanden Borre (16 ans, 6 mois et 4 jours).

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Dès que je l'ai vu j'ai sû qu'il était génial!