Soutien financier: la Flandre plus généreuse avec ses entreprises
Si le nord du pays a frappé fort dès le début de la crise, les francophones ont rattrapé en partie leur retard ces derniers mois. Partout, le gros de l’effort a été dirigé vers les petites sociétés. Décryptage et nuances.

Des pages et des pages d’aides. De longues listes de codes Nace et de secteurs d’activité. Dès le début de la crise, fédéral et entités fédérées ont ouvert grand leur porte-monnaie, de façon inédite, pour éviter le désastre économique. Répartition des compétences oblige, le fédéral a assuré un soutien aux ménages. C’est le chômage temporaire ou le droit passerelle notamment. Les Régions, elles, confectionnent une série d’aides directes et indirectes pour leurs entreprises et indépendants. Plus d’un an après l’arrivée du virus, nous nous sommes penchés sur ce qui a été distribué, à qui et où. Soyons francs, l’exercice de comparaison est épineux et ne permet pas de tirer de conclusion invariable. Car les indemnités divergent selon les secteurs, le chiffre d’affaires mensuel, annuel ou trimestriel, suivant l’ampleur des pertes, le nombre d’employés ou d’unités d’établissements, etc. Bref autant de situations que d’entreprises.

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