Pacte d’excellence: autonomie et contractualisation
Le GC insiste: il ne s’agit pas de mettre les écoles sous tutelle


La gouvernance du système scolaire représente le chapitre le plus épais de la note du GC. On y prône l’autonomie des écoles. «Il importe de résister à la tentation de la standardisation excessive.» Mais cette autonomie aurait un corollaire: on développerait une forme de contractualisation entre les écoles et le pouvoir communautaire, avec contrôle des résultats.
Le GC dessine une structure en trois niveaux:
1 Un pouvoir régulateur central. C’est lui qui définit les objectifs généraux de l’école.
2 On crée des directions territoriales, dirigées par un directeur de zone. Elles se chargent d’inspecter les écoles, vérifient leur fidélité aux programmes et elles concluent, avec chaque établissement, un «plan de pilotage» personnalisé, fixant des objectifs spécifiques à chaque école.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
« Dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit toujours être une considération primordiale ».
De la même manière que la liberté thérapeutique octroyée au praticien de l’art de guérir doit servir le patient (et non le praticien ou la médecine), la liberté pédagogique doit, avant tout, servir l’enfant (et non les enseignants ou les pouvoirs organisateurs).