Pacte d’excellence: se former tout le temps!

Le professeur devrait pouvoir se former tout au long de sa carrière.

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Journaliste au service Politique

Publié le 27/04/2016 à 21:33 Temps de lecture: 1 min

Jean-Claude Marcourt (PS), le ministre de l’Enseignement supérieur, a engagé sous l’ancienne législature une réflexion sur la formation initiale des enseignants.

On l’a régulièrement évoquée ici : on préconise le passage de la formation à 5 ans. Le GC n’y revient guère. Il se focalise sur la formation en cours de carrière. Il propose que le directeur négocie avec ses enseignants des plans de formation en cours de carrière, focalisés sur les besoins et les objectifs de l’école.

Par ailleurs, l’enseignant devrait pouvoir se constituer un « portefeuille de formations », individualisé – une sorte de « développement professionnel » personnalisé. Idée que propose le GC, sans la trancher : fixer un nombre minimal de formations continuées.

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2 Commentaires

Posté par Thierry De Cuyper, jeudi 28 avril 2016, 19:31

Excellente idée, nous aurions enfin des enseignants informés sur le fait qu'une étude reprenant des milliers de cas sur le redoublement a plus de poids que des impressions concernant quelques cas. On viendrait à bout du redoublement.

Posté par Marie Jaspers, jeudi 28 avril 2016, 18:46

Le plus gros problème pour la revalorisation de la fonction" enseignant " dans le primaire et le secondaire inférieur est le niveau de recrutement des candidats.Selon le rapport McKinsey, ils sont 54% pour les instituteurs maternels,31% pour les primaires et 28% pour les régents(AESI) à sortir du qualifiant!On ne comprend mal comment une formation initiale,quelle quelle soit, pourrait changer cet état des choses.Le niveau d'un enseignement ne peut excéder celui de son personnel.

Posté par Thierry De Cuyper, jeudi 28 avril 2016, 19:31

Excellente idée, nous aurions enfin des enseignants informés sur le fait qu'une étude reprenant des milliers de cas sur le redoublement a plus de poids que des impressions concernant quelques cas. On viendrait à bout du redoublement.
Posté par Marie Jaspers, jeudi 28 avril 2016, 18:46

Le plus gros problème pour la revalorisation de la fonction" enseignant " dans le primaire et le secondaire inférieur est le niveau de recrutement des candidats.Selon le rapport McKinsey, ils sont 54% pour les instituteurs maternels,31% pour les primaires et 28% pour les régents(AESI) à sortir du qualifiant!On ne comprend mal comment une formation initiale,quelle quelle soit, pourrait changer cet état des choses.Le niveau d'un enseignement ne peut excéder celui de son personnel.