Accueil Société

Wallonie: gare à la fièvre urticante

Présentes depuis un moment chez nous, les chenilles processionnaires du chêne devraient ressortir à la faveur du retour d’un temps sec. Mieux vaut passer son chemin.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Société Temps de lecture: 3 min

Elle est présente depuis plusieurs années dans le sud et l’est de la Wallonie. Et on ne l’en délogera pas. Pire : cette année, elle devrait encore étendre son aire de répartition. Comme sa cousine du pin, la chenille processionnaire du chêne n’a pas que des amis. Ce sont surtout ses poils qui lui attirent des inimitiés. Très légers et très fins (0,2 à 0,3 millimètre), ils sont capables de voler dans le vent. Et au toucher ou à l’inhalation, ils causent des dégâts : démangeaisons, réaction urticante, éruption cutanée, conjonctivite, irritation des voies respiratoires, choc anaphylactique dans les cas les plus graves. Munis d’un petit crochet, ils peuvent même s’ancrer sur les vêtements ou sur le linge qui sèche au jardin. Bref, un souci. Pour les humains et pour les animaux de compagnie et d’élevage.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en Société

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs