Wallonie: gare à la fièvre urticante
Présentes depuis un moment chez nous, les chenilles processionnaires du chêne devraient ressortir à la faveur du retour d’un temps sec. Mieux vaut passer son chemin.


Elle est présente depuis plusieurs années dans le sud et l’est de la Wallonie. Et on ne l’en délogera pas. Pire : cette année, elle devrait encore étendre son aire de répartition. Comme sa cousine du pin, la chenille processionnaire du chêne n’a pas que des amis. Ce sont surtout ses poils qui lui attirent des inimitiés. Très légers et très fins (0,2 à 0,3 millimètre), ils sont capables de voler dans le vent. Et au toucher ou à l’inhalation, ils causent des dégâts : démangeaisons, réaction urticante, éruption cutanée, conjonctivite, irritation des voies respiratoires, choc anaphylactique dans les cas les plus graves. Munis d’un petit crochet, ils peuvent même s’ancrer sur les vêtements ou sur le linge qui sèche au jardin. Bref, un souci. Pour les humains et pour les animaux de compagnie et d’élevage.

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