Coronavirus: de nouveaux effets secondaires possibles reconnus par l’EMA pour les vaccins de Pfizer et de Moderna
Les cas observés sont principalement survenus dans les 14 jours suivant la vaccination, plus souvent après la deuxième dose et chez des hommes adultes plus jeunes.

Des inflammations du myocarde ou du péricarde – deux couches des parois cardiaques – peuvent survenir dans de « très rares » cas après l’administration des vaccins anti-covid de Pfizer et de Moderna, a indiqué l’Agence européenne des médicaments (EMA) dans un avis rendu vendredi.
Ces risques très rares de myocardite et péricardite sont donc reconnus comme effets secondaires possibles. Les symptômes peuvent varier mais comprennent souvent un essoufflement, des palpitations et des douleurs thoraciques.
Les cas observés sont principalement survenus dans les 14 jours suivant la vaccination, plus souvent après la deuxième dose et chez des hommes adultes plus jeunes. Dans cinq cas, la personne est décédée. Ces personnes étaient soit d’un âge avancé, soit atteintes de maladies concomitantes. Les données disponibles suggèrent que l’évolution de la myocardite et de la péricardite après la vaccination est similaire à l’évolution typique de ces affections, s’améliorant généralement avec du repos ou un traitement. L’EMA rappelle en outre que dans le seul Espace économique européen, plus de 177 millions de doses de Pfizer et plus de 20 millions de doses de Moderna ont déjà été administrées.
L’AstraZeneca et le Janssen sont eux aussi examinés concernant la myocardite et la péricardite, mais à ce jour, aucune relation de cause à effet n’a pu être établie avec eux.
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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir17 Commentaires
mais bon sang , on sert de cobaye! Tous les intervenants qui pônent le vaccin obligatoire ne s'en rendent pas compte ou ils sont payés pour intervenir.
MDR !
5 ca sur 200.000.000 ..Lisez n importe quelle posologie ... Vous n oserez même plus prendre une aspirine ....cobaye
Moi, je ne "pône" rien du tout, sinon un minimum d'honnêteté intellectuelle avec si possible, une larmichette de bon sens.
Il n'y a pas lieu de paniquer, Madame Mathieu. Cinq cas possibles sur 199.000.000 d'injections. De plus, précise l'avis, "Ces personnes étaient soit d’un âge avancé, soit atteintes de maladies concomitantes." Pas sûr qu'avec des aspirines vous ne prendriez pas moins de risques de thrombose.