Eddy Merckx y avait découvert la pression

Cela ressemble à un rendez-vous amoureux qu’on n’a pas honoré avec la ponctualité et la passion qu’il méritait pourtant. Quelques lettres dans un agenda de 1964, comme un code vaguement secret pas totalement déchiffré, une parenthèse qu’on laisse ouverte, à tout hasard… En se remémorant les JO de Tokyo, cinquante-sept ans plus tard, Eddy Merckx sourit doucement mais le verbe du Cannibale s’accélère, trahissant des regrets que le plus grand champion cycliste de tous les temps ne pourra jamais totalement effacer, malgré le temps qui lisse les émotions.

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