Au Maroc, la répression contre les voix libres s’aggrave
Omar Radi (6 ans de prison ferme) et Imad Stitou (1 an de prison dont la moitié avec sursis) sont les dernières victimes d’un système pénal marocain qui fait taire les journalistes libres par le biais de procès iniques.


Le journaliste marocain Omar Radi a eu 35 ans ce 19 juillet. La « justice » marocaine lui a fait un cadeau particulier : il a en effet été condamné le même jour à un total de 6 ans de prison pour deux affaires pour lesquelles il était en détention préventive depuis un an. Dans ces deux affaires, l’une de « viol » et l’autre d’« espionnage », on chercherait vainement les preuves probantes, ce que sa défense a pu mettre en évidence. Un second journaliste, Imad Stitou, poursuivi pour complicité dans l’affaire du viol allégué, a écopé d’un an de prison dont la moitié avec sursis (présent la nuit des faits allégués, il avait voulu témoigner pour innocenter Omar Radi, ce qui lui a valu les foudres de la « justice » marocaine).

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Boycottez ce pays voyou dont la sphère de pouvoir, du bouffi royal jusqu'au plus petit de ses sbires, est constituée d'une bande d'assassins et de voleurs!