John Bico, objet de tous les fantasmes
Rarement, les projecteurs avaient autant été braqués sur un entraîneur. Car le titre du White Star, c’est aussi celui de John Bico.


Depuis sa reprise d’un club au bord de la liquidation, en avril 2013, il faut dire qu’on a surtout spéculé sur la date de son départ. Vu son passé, beaucoup le voyaient en effet juste se faire facilement du pognon, reprendre ses billes et aller les placer ailleurs. Mais il semble que le projet ait finalement plus d’avenir qu’on ne l’imaginait. Aujourd’hui, John Bico ambitionne carrément d’avoir un rôle à jouer en division 1 dans les cinq ans.
D’où tient-il l’argent investi depuis trois ans dans le club ? Officiellement, c’est la société dubaïote Gulf Dynamic Challenge qui avait repris le White Star pour environ 400.000 euros, après avoir tenté de faire de même au FC Brussels. Cette mystérieuse société, dont personne ne connaît réellement ni l’origine ni l’objet, était alors représentée par John Bico et Jamel Ben Ferah. Pierre François, sorti des oubliettes depuis son départ du Standard, avait été nommé directeur général, Nourredine Zaiour était devenu directeur sportif, tandis que Felice Mazzu avait quitté son poste d’entraîneur.

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