Karina Sainz Borgo, le poche des Livres du Soir
Ce qu’il ne faut pas manquer.


La fille de l’Espagnole ***
Karina Sainz Borgo
Peu importent les dates, les noms, les idéologies. Le cadre est Caracas, l’effondrement du Venezuela contemporain, les émeutes, les milices, les crimes, les lâchetés ordinaires, le quotidien. La jeune Adelaida Falcón vient de perdre sa mère, son appartement, elle trouve refuge clandestinement chez une voisine morte, Aurora, qu’on appelait la « fille de l’Espagnole ». Un passeport espagnol sera la clé d’une fuite douloureuse. Un premier roman terrifiant, dur parfois, partiellement autobiographique, qui place sur la carte littéraire un nouveau talent journalistico-littéraire.
Tr. de l’espagnol (Venezuela) par S. Decante, Gallimard, 288 p., 8,1 €.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire