Coronavirus: pourquoi le prix des billets d’avion n’a pas décollé
Les prix des billets d’avion demeurent bas pour la saison. Si la demande est au rendez-vous, les voyageurs restent frileux face à la situation sanitaire et favorisent les réservations de dernière minute.

Alors que le mois d’août n’est qu’à un pas, il est encore temps de s’envoler vers des cieux plus ensoleillés. Au départ de Bruxelles, on pourra ainsi passer la semaine du 15 août à dévaler les Ramblas de Barcelone (69 euros A/R), à écouter du fado dans le Bairro Alto de Lisbonne (86 euros A/R) ou à visiter l’Acropole d’Athènes (200 euros A/R), le tout à prix réduit. « Avant la pandémie, un aller-retour à la dernière minute en Europe coûtait plutôt entre 300 et 400 euros en été », estime Frank Bosteels, porte-parole de l’agence de voyages Connections.
Faute de passagers, le prix des billets d’avion ne décolle pas. « Au début de la saison, on s’attendait un raz-de-marée de réservations pour des destinations européennes. Finalement, la demande est présente, mais elle n’a pas fait exploser l’offre existante, et les prix restent bas », analyse Frank Bosteels.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir6 Commentaires
Hé, hé quand les avions ne décollent pas, les prix non plus, logique non ?
Les prix hors Europe (Turquie par exemple) ont explosés par contre. Pourquoi'article se limite à l'Europe?
Si la situation des prix présentés dans l'article est vraie pour des vols européens, ce n'est certainement pas le cas des vols vers l'Afrique Centrale où les prix ont doublés si pas triplés.
Quand est-ce que la presse fera les liens nécessaires entre les émissions d'un coté et ... les changements climatiques et impacts de l'autre ? On fait comme si on vivait dans des mondes séparés, alors que tout est relié. La seule différence, c'est que les intempéries actuelles sont amplifiées par des perturbations climatiques qui ont été réalisées il y a plusieurs années, et que nos actes actuels auront des impacts dans une dizaine d'années ...
Le problème est qu'il est légitime d'avoir envie d'ailleurs..la Belgique est le pays le plus déprimant du monde pour prendre congé. Il pleut ou il y fait étouffant, tout est hors de prix (et j'aime bien aller au resto en vacances avec mes enfants..), on est fliqués partout..il y a des règles et des lois partout. Et je ne parle même pas de l’accueil à la "vlaaamse kusste"...