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Jean-Pierre Améris à propos de «Profession du père»: «A 13 ans, le cinéma est devenu mon abri»

Adaptation du best-seller de Sorj Chalandon, « Profession du père », qui parle de la maltraitance psychologique.

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Journaliste au service Culture Temps de lecture: 4 min

L’attente fut longue pour Jean-Pierre Améris (Les émotifs anonymes, L’homme qui rit, Famille à louer) avant de pouvoir partager Profession du père avec le public. Mais refusant toujours de sortir un film sans savoir ce qu’il ferait ensuite – «  sans ça, c’est la porte ouverte à la dépression  » –, il écrit deux ou trois films en même temps. Et pour la première fois, il a entamé le tournage d’un film (Les folies fermières avec Guy Marchand, Michèle Bernier, Alban Ivanov) avant d’avoir sorti le précédent.

De quelle manière le roman de Sorj Chaladon vous a-t-il touché ?

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