Stephan Micus: une musique de chambre mystérieuse et rafraîchissante
Winter’s End


Stephan Micus utilise des instruments ethniques de nombreux pays du monde, mais n’en fait pas du tout une musique traditionnelle. Il combine les sonorités, adjoint un suling balinais et des kalimbas africaines, un chikulo mozambicain et un nohkan japonais et l’alchimie produit une musique originale, neuve. Une musique de chambre mystérieuse et rafraîchissante, légère et obscure. Un soupçon de baroque ici, une percussion un peu jazzée là, du Micus partout. On ferme les yeux et on rêve, et c’est beau.

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