Télétravail: l’inéluctable réduction des mètres carrés de bureaux
Les changements dans la manière de travailler s’accompagnent de modifications dans l’organisation des espaces de travail. Et bien souvent de la réduction des superficies. Un mouvement surtout bruxellois, dont l’ampleur reste très difficile à prédire.

Moins 5 % ? Moins 15 % ? Dans le secteur, tout le monde a son pronostic en tête. « Au début de la crise, un vent de panique a soufflé sur le marché », nous glisse un professionnel du marché immobilier de bureaux. « Tout le monde était à la maison, alors on parlait de réduction des surfaces de bureau de 50 % ! Puis les choses se sont calmées. »

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Dans 20 ans à Bruxelles et en Wallonie nous serons au niveau du Kosovo. C'est qu'il est beaucoup plus utile et facile de parler foulard et discriminations diverses et variées des minorités, que de voir la réalité de la décrépitude de nos régions avec la peur au ventre pour nos politiciens d'opérette de dire la vérité aux gens sur ce qui les attend dans le futur.
La grande perdante sera Bruxelles et son activité économique subséquente. Avec les effets de catalyse de sa politique de mobilité et l’évolution probable sur l’émigration des entreprises, cela risque de créer des difficultés économiques importantes. Cet effet pandémie est un accélérateur pour révéler les conséquences désastreuses des politiques Bruxelloises, tant de la région que de certaines communes,
C'est évident;