A Bruges, la saison touristique pourrait être sauvée in extremis
La pandémie a plongé la ville médiévale et son tourisme dans une profonde léthargie. Mais depuis quelques jours, une embellie se précise. La saison pourrait être sauvée de justesse.


Il est quatorze heures, un soleil nonchalant éclaire le Grote Markt, les chevaux font cataclop ! sur le pavé. Ce n’est pas la grande foule, les restos alentours peinent à remplir leurs terrasses, mais Bruges se réveille enfin après une léthargie de plusieurs mois. Elle n’est pas morte, n’en déplaise à Georges Rodenbach.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
Quelqu'un peut-il expliquer pourquoi les hôtels de Brugges réclament une taxe de 3 euros par jour par personne pour le "fonds de calamité"? Le prix de la chambre ne devrait il pas être toutes taxes comprises ?
calèches à bruges = exploitation animale d'un autre temps. Les chevaux peinent sur les pavés, dans la chaleur, le bruit, le trafic, les enfants qui les touchent sans arrêt. Il y a même eu un décès ce printemps, une jument, raide morte d'un arrêt cardiaque. Touristes et visiteurs conscients, à éviter à tout prix, louer une bicyclette et sillonnez Bruges comme nous les Brugeois
D'accord à 100%. Il n'y a donc pas de Brugeois qui se révoltent contre cela ?