Nina Derwael, de l’or aux barres

La beauté des lieux et la solennité du moment méritaient autre chose que des gradins vides, où seuls quelques officiels des délégations étaient essaimés de-ci de-là. Mais à hauteur des barres asymétriques, cet engin bizarre où rien n’est d’équerre, un drapeau belge était déployé, et c’était finalement l’essentiel. Avant d’entrer une dernière fois dans sa bulle de concentration, Nina Derwael pouvait sentir le soutien du pays dans sa quête d’or. Une recherche initiée il y a quinze ans, lorsque la petite Limbourgeoise suivait à la télé, en compagnie de son footballeur de papa, les évolutions d’Aagje Vanwalleghem aux JO d’Athènes.

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SUPER, MILLE BRAVOS.