Esteban Ocon, la belle histoire

Depuis toujours, la F1 s’autorise l’éclosion de jeunes gens dont le compte en banque parental est inversement proportionnel au talent. Ce fut le cas de Lewis Hamilton. C’est aujourd’hui celui d’Esteban Ocon, Normand désargenté dont les parents ont pratiquement vécu dans la misère pour offrir au gamin des programmes dans les catégories inférieures. Et encore, il fallut l’intervention de mécènes puis de Toto Wolff (« Sans lui, je retournerais les hamburgers dans un McDo », avait-il raconté un jour) pour accéder au sérail des sports mécaniques.

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