JO 2020: une sprinteuse biélorusse demande l’asile en Europe
Après que Krystsina Tsimanouskaya eut critiqué ses entraîneurs, ces derniers ont tenté dimanche de la rapatrier de force en Biélorussie. Protégée par la police japonaise, elle a demandé l’asile politique dans l’Union européenne.

Il s’en est fallu de peu pour qu’un nouveau drame aérien n’émaille la chronique de la contestation biélorusse. Dimanche, à la veille du début des séries du 200 mètres des JO auxquelles elle devait participer, la sprinteuse Krystsina Tsimanouskaya, 24 ans, a été évincée de l’équipe et conduite de force à l’aéroport de Tokyo. Avant de se rendre au check-in du vol Tokyo-Istanbul de Turkish Airlines, préalable à son retour forcé à Minsk, la jeune femme a réussi à s’extirper du guet-apens et à se mettre sous la protection de la police japonaise.

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