Messi-Lukaku: le mercato des joueurs de 50 à 100 millions se prend un vent
Difficile de faire l’économie, en pleine accélération des dossiers Messi-PSG et Lukaku-Chelsea, du rapport incestueux qu’entretiennent les rémunérations mensuelles des stars du foot et leur capacité à produire davantage encore de richesses.

Qu’on le veuille ou non, qu’on hurle aux loups et à la prédation de clubs presque aussi puissants que des Etats, que l’on acquiesce ou que l’on honnisse, les faits sont là : la crise du covid est loin d’avoir tué le foot et encore moins le sport spectacle. Business si business, une vérité qui s’étire à travers les âges, du sesterce au bitcoin. Dans ce modèle économique imposé par la toute-puissance du profit, les fonds de tiroir (caisse) recèlent encore une certaine épaisseur dans quelques places fortes du bastion européen. Les revers de fortune des uns constituant autant d’occasions de faire le larron pour d’autres, Chelsea et le PSG sont en passe de réaliser chacun dans leur style, « le » coup du mercato estival 2021.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
le journaliste se veut original ... en fait, il tombe dans le mauvais gout ... .
Le football est l'emblème de la pourriture du capitalisme, certains toujours plus riches et la majorité toujours plus pauvres. Messi aurait pu éviter ses larmes de crocodile (d'ailleurs à bien regarder, j'ai vu des jérémiades mais pas de larmes) s'il avait accepté les diminutions de primes et de salaires et Lukaku aurait pu éviter les bravades "je reste à 100 % à l'Inter" et les baisers sur l'écusson de son maillot pour partir une semaine plus tard.