Le calvaire d’Alep continue sans désemparer
La grande métropole du nord de la Syrie ploie sous les fracas de la guerre. Le cessez-le-feu n’y est plus qu’un mot vide de sens. La mort guette chacun à chaque instant. Tout indique que le régime en a fait sa cible majeure.


Une ville se meurt. On parle d’au moins 250 civils tués ces deux dernières semaines à Alep, dont une cinquantaine d’enfants, et ce n’est pas fini. Rarement un cessez-le-feu a-t-il aussi mal porté son nom. Il date du 27 février. Il avait été concocté par les grandes puissances, la Russie et les Etats-Unis. Qui accusent les forces loyales à l’autre d’avoir rompu la trêve. Les victimes, elles, se comptent surtout parmi les civils de la partie de la ville septentrionale encore aux mains des rebelles. Entre 6 et 9 morts ont été signalés en ce début de semaine dans la partie contrôlée par le régime, des civils victimes de roquettes lancées par les rebelles.

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