Climat: le Brésil reste sourd aux avertissements du Giec
Alors qu’il abrite la plus grande forêt tropicale au monde et des écosystèmes aussi rares que riches, le Brésil de Bolsonaro refuse de prendre la voie du changement.

En déplacement à Brasilia, Alok Sharma, le président de la COP 26 qui se tiendra dans deux mois en Ecosse, a trouvé porte close. Jair Bolsonaro n’a pas daigné le rencontrer. Dans les jours qui ont précédé ce lundi et la publication du rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), l’émissaire britannique a pu s’entretenir avec plusieurs ministres, mais pas avec le président. Bolsonaro n’a d’ailleurs pas réagi aux conclusions alarmantes de ce rapport.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir9 Commentaires
LA plus grande concentration...
doublons involontaires !
Il est un peu facile pour les Occidentaux d'exiger d'un pays qu'il préserve sa grande forêt alors qu' eux-mêmes ont réduit considérablement leur propres forêts pendant des siècles comme l'Espagne à l'époque de la construction de l'Invincible Armada !
Il est un peu facile pour les Occidentaux d'exiger d'un pays qu'il préserve sa grande forêt alors qu' eux-mêmes ont réduit considérablement leur propres forêts pendant des siècles comme l'Espagne à l'époque de la construction de l'Invincible Armada !
D'accord avec vous, mais la situation était à l'époque tout à fait différente. Le mot pollution devait être inconnu d'un très grand nombre de personnes. Par ailleurs en Belgique a une surface arborée nettement supérieure à celle de plus de 200 ans et elle continue à croitre (malheureusement avec trop de résineux)