La Cinematek face à des nombreux défis: «Changer les pratiques prend du temps»
En poste depuis un an, Tomas Leyers, nouveau conservateur de la Cinematek, fait face à de nombreux défis. Mais les projets avancent, malgré un contexte complexe.


Début octobre, cela fera tout juste un an que Tomas Leyers a officiellement été nommé conservateur de la Cinémathèque royale de Belgique (Cinematek), un poste qu’il occupait en tant qu’intérimaire depuis mars 2020. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce début de mandat a été mouvementé. Outre les fermetures imposées par la crise sanitaire, la Cinematek a été touchée par l’incendie qui a ravagé le toit du Palais des Beaux-Arts. « C’est vrai que c’était une année particulière », reconnaît le conservateur. « Pour les projectionnistes, les programmateurs, les gens de la salle… On était tous prêts et motivés. Refermer a été une deuxième claque. Jamais dans l’Histoire du cinéma les salles n’ont été fermées aussi longtemps. Ce qui s’est passé était exceptionnel. Même pendant les guerres, les fermetures ne duraient que quelques semaines… En plus on a eu cet incendie à Bozar en janvier.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir4 Commentaires
La quoi ? La si nez ma tes que ?
Commencez par parler de "Cinémathèque" ! Abandonner ces termes de globiche ! Assez de cette novlangue de cul-terreux !
Commencez par parler de "Cinémathèque" ! Abandonner ces termes de globiche ! Assez de cette novlangue de cul-terreux !
j'ai vu des trucs sympa au musée du cinéma, il y a longtemps ! cela me donne envie d'y retourner !