Tanguy Viel: Laura sous l’emprise du maire
L’héroïne du nouveau roman de Tanguy Viel est celle que le titre désigne sous le nom de « La fille qu’on appelle ».
Lisez le premier chapitre.

Pas d’esbroufe, jamais, chez Tanguy Viel. Avec une écriture qui semble couler de source, il nous présente les choses comme elles sont, et puis voilà, faites avec ça, vous verrez bien où vous irez. C’est peu dire qu’on y va volontiers en ouvrant La fille qu’on appelle. On a pourtant cru lire, sur la couverture, la médiocre traduction du titre d’un polar anglo-saxon : The Call-girl. Méfiez-vous des apparences…
Elle, en baskets blanches, se prépare à son rendez-vous avec le maire en pensant à son père, Max Le Corre, boxeur auréolé de gloire, locale, certes, mais gloire quand même, et dont on apprendra bientôt qu’il a obtenu le rendez-vous en utilisant sa proximité avec le maire – il est son chauffeur.
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