Enseignement secondaire: des jeunes engagés, mais pas représentés
Contrairement à leurs pairs de l’enseignement supérieur, les élèves du secondaire ne sont pas représentés au niveau politique. Il existe bien une organisation de jeunesse pour porter leur voix. Mais celle-ci ne réunit qu’une centaine d’affiliés.


Les élèves du secondaire se bougent pour les luttes qui leur tiennent à cœur, débattent sur les réseaux sociaux, marchent pour le climat. La crise du covid a mis en lumière leur souhait de faire entendre leur voix. Pourtant derrière les murs de l’école, leur champ d’action est limité. Soyons de bon compte, deux structures existent bel et bien en Fédération Wallonie-Bruxelles : le Conseil de participation et le Conseil des élèves. Le premier rassemble les représentants des acteurs de l’école, y compris les élèves, afin de prendre part aux décisions ayant trait au fonctionnement de l’école. Le second est constitué des délégués de classe et a pour objectif de discuter des projets futurs, d’analyser les problèmes liés à l’école. Mais le Comité des élèves francophones (CEF) se montre critique à l’égard de ces deux espaces. « Selon les écoles, le champ d’action des élèves va être plus ou moins grand », déplore Logan Verhoeven, coordinateur au CEF.

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