Analyse: Au combat
pas fini !
On retrouve Georges-Louis Bouchez tel qu’il est dans cette interview. Au combat pour défendre les idées libérales. Et à l’attaque contre les positions des adversaires politiques, même quand ils sont ses partenaires de gouvernement.
Il veut réduire le déficit de l’Etat, sanctionner les chômeurs de longue durée qui refusent de se former à un métier en pénurie, valoriser le travail, lutter contre la fraude sociale, rappeler aux citoyens leurs devoirs en échange de leurs droits. Autant d’idées bleues. Mais au passage, il en profite pour tacler Paul Magnette (président du PS, parti de la Vivaldi) qui prônait, dans ces colonnes récemment, de larges investissements publics pour répondre aux défis environnementaux ou de mobilité. Ou Jean-Marc Nollet (président d’Ecolo, parti de la Vivaldi), avec lequel il ferraille depuis plusieurs jours sur le thème des émissions supplémentaires de CO2 que produiront les futures centrales au gaz si l’on sort complètement du nucléaire en 2025.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir0 Commentaire