Pensions: la Vivaldi s’empoigne, mais ne tranchera pas avant la fin de l’année
La proposition de réforme des pensions de Karine Lalieux a suscité des critiques acerbes au sein même de la majorité, tant sur l’annonce sans concertation que sur le fond. Le conseil des ministres restreint a décidé de ne pas trancher avant la fin de l’année.

Je ne vous le cache pas, je m’attends à ce que le débat sur ma proposition de réforme soit animé. » Dans l’interview qu’elle nous accordait jeudi, la ministre des Pensions, Karine Lalieux (PS), avait senti le vent du boulet. Sa réforme des pensions, très attendue, a suscité vendredi de nombreuses réactions négatives, jusque dans la majorité fédérale, où l’usage de ces derniers mois veut qu’on ne se fasse pas de cadeaux.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous identifier.
Vous n’avez pas de compte ? Créez-le gratuitement ci-dessous :
S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir14 Commentaires
En résumé : qui décide ? Des gens (parlementaires, ministres) qui ont la pension la plus élevée du système – forcément ! ils se la définissent eux-mêmes, comme leur salaire ou la financement de leur parti. Et ces gens-là osent nous dire qu'on ne peut pas financer notre pension ? Et dire qu'il y a encore des naïfs (des journalistes) pour croire que cela ne pose pas un problème de conflit d'intérêt.
Bla bla bla ... Priorité n°1 ... que ceux qui promeuvent les loi soient également inpacté ! Fini les régimes des favorisés !
A la pension vous êtes un pauvre, point, tout est dit. Sauf les politiciens et politiciennes bien évidemment
Collin Lilliane : il y a une place réservée à la guillotine pour les crapules dans votre genre. Ou si vous prouvez que c'est de la stupidité plus que de l'inhumanité, on vous gardera en institution où vous ne pourrez plus nuire.
A la pension, si vous êtes pauvre, c'est de votre faute (sauf problèmes de santé bien entendu) . Vous avez eu toute votre vie pour vous y préparer.