Accueil Opinions Chroniques

La chronique «Variations»: tensions dans la Vivaldi, stop ou encore?

Il est devenu illusoire d’avoir des gouvernements unis et cohérents compte tenu du scrutin proportionnel, de la diversité des clivages et… des promesses électorales.

Article réservé aux abonnés
Chroniqueur Temps de lecture: 5 min

Depuis quelques jours, les médias multiplient les titres chocs pour souligner les tensions qui minent la Vivaldi dans une série de dossiers : pensions, sortie du nucléaire, politique de l’emploi… Certains commentateurs s’inquiètent : le gouvernement fédéral tombera-t-il avant les élections de 2024 ? La plupart déplorent ces chamailleries, qui retardent la prise de décision et minent la confiance des citoyens envers le monde politique. Pourtant nous devrions nous réjouir de ces controverses et dire « encore » plutôt que « stop », si l’on songe à une célèbre émission radiophonique...

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

3 Commentaires

  • Posté par Petitjean Marie-rose, mardi 7 septembre 2021, 16:29

    Divergences légitimes, bien évidemment. Ce qui l'est moins, c'est la façon dont elles s'expriment, l'agressivité, le dénigrement, l'irrespect, sans compter la démagogie et l'incapacité à se situer autrement que dans la musculation, la critique systématique et la volonté de rendre les autres impuissants, de surtout les empêcher de réussir et de tirer la couverture à soi.

  • Posté par collin liliane, mardi 7 septembre 2021, 16:28

    Pour le tirage au sort d'assemblées citoyennes, c'est non: nous n'avons pas à subir les décisions de gens que personne n'a élus. L'idée même qu'il existerait un "bon sens citoyen" fait rire.

  • Posté par collin liliane, mardi 7 septembre 2021, 16:24

    C'est pourquoi il faudrait pouvoir ne plus voter pour des partis au menu imposé, mais pour des projets à la carte, avec une responsabilisation de ceux qui les ont proposés. Des promesses dont la réalisation pourrait être vérifiée. A l'heure de l'informatique, c'est parfaitement réalisable.

Aussi en Chroniques

Chronique Carta Academica : un système éducatif aussi exigeant avec lui-même qu’avec ses enseignant·es ?

Tous les samedis, « Le Soir » publie la chronique d’un ou plusieurs membres de Carta Academica. Cette semaine : la mise en place d’un nouveau dispositif d’évaluation des enseignant·es en Belgique francophone constitue une étape de plus vers un pilotage du système éducatif par les résultats. Il y a lieu toutefois de s’interroger sur la déresponsabilisation des pouvoirs publics qu’une telle mesure pourrait favoriser.
Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs