Diables rouges: une Belgique de bric et de broc contre la Biélorussie
Après le 8-0 de la manche aller, une 3e victoire est impérative pour clore le diptyque de septembre, à Kazan contre la Biélorussie. Entre les absences actées ou plus récentes (Lukaku, Vertonghen, Courtois, Meunier, Witsel et Carrasco), le sélectionneur sera privé de 12 des 26 sélectionnés à l’Euro.

Dernier devoir à remplir avant la prochaine vraie échéance pour les Diables : le rendez-vous calendrier de la Nations League, deuxième des trois objectifs potentiels restant à la génération dorée pour rouvrir une armoire à trophées du football belge sous clé depuis plus d’un siècle, lorsque les Olympiques de 1920 y avaient déposé la médaille d’or des JO d’Anvers. En attendant de prendre son envol le 4 octobre pour Turin où elle prendra ses quartiers au Juventus Training Center de Vinovo, à 14 km du centre-ville, la délégation belge se farcira un aller et retour de 6.000 km avec Kazan pour destination. Un voyage éclair de 35 heures pour y affronter la modeste Biélorussie. Avec une moitié de forces vives ayant décliné l’invitation.
1 Pourquoi cette délocalisation à Kazan, à 700 km l’est de Moscou ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Merci pour la considération que vous portez aux autres joueurs. Il y a quelques absents et l'équipe devient de bric et de broc?
Pas cool en effet.