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Mohamed Abrini, en arrière-plan à Paris, à l’avant-plan à Bruxelles

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Journaliste au service Société Temps de lecture: 3 min

Dans l’histoire, Mohamed Abrini restera « l’homme au chapeau » affublé de ce bob noir. Celui devenu tristement célèbre pour être apparu en train de pousser son chariot devant la lentille d’une caméra de surveillance du hall de l’aéroport de Zaventem, avant l’instant fatidique des explosions et de sa fuite. Si cette scène a figé son personnage dans le récit du 22 mars, son rôle en tant que membre de la cellule terroriste de Bruxelles démarre plus tôt. Entre le 9 et le 13 novembre, la reconstruction de ses activités montre qu’il a d’ailleurs joué un rôle actif dans la logistique des attaques parisiennes. D’abord, il accompagnera son ami Salah pour la location de la Clio du commando du Stade de France. Le 11 novembre, il est filmé en compagnie du même Abdeslam par une caméra de surveillance d’une station-service de l’Oise. Ils sont partis louer l’appart-hôtel d’Alfortville, qui deviendra l’une des deux dernières planques des commandos.

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