Accueil

Les étudiants restent inégaux face aux recours disciplinaires et légaux

L’Ares, Unia et l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes recommandent d’adopter un cadre légal particulier afin de lutter efficacement contre le harcèlement et les violences. Valérie Glatigny considère que le cadre juridique existant est suffisant, mais peu connu.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Forum Temps de lecture: 2 min

Alors que des vagues de témoignages d’agressions sexuelles, de faits de harcèlement ou de violences sexuelles ont touché les campus universitaires ces derniers mois, certains établissements supérieurs ont décidé d’intensifier leurs efforts (lire ci-contre). Des initiatives saluables mais qui laissent les étudiants dépendants de la politique volontariste des établissements : les procédures varient d’un établissement à l’autre, et rien n’oblige un établissement à en mettre en place.

Légalement aussi, a constaté Unia, les étudiants ne bénéficient pas du même degré de protection : s’il ou elle est victime de harcèlement qui ne serait pas à caractère discriminatoire, et en dehors d’une relation de stage, il ou elle devra faire face à la lourdeur de la procédure pénale, toujours compliquée dans un contexte académique, et ne pourra bénéficier des mécanismes de protection contre les représailles et de glissement de charge de la preuve prévus par la législation anti-discrimination.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

0 Commentaire

Aussi en

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs