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Signes convictionnels dans l’enseignement supérieur: des règles disparates

En l’absence de décret, ce sont les établissements – ou les juges – qui tranchent l’autorisation ou non du port de signes convictionnels.

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Journaliste au service Forum Temps de lecture: 2 min

Les cinq hautes écoles, cinq écoles supérieures des arts et 29 établissements de promotion sociale sont concernés par la récente décision de Wallonie-Bruxelles Enseignement d’autoriser le port de signes convictionnels depuis la rentrée 2021. Côté officiel, les écoles de promotion sociale organisées par la Commission communautaire française et l’École supérieure des arts du cirque ont déjà appliqué à la rentrée 2019 cette option, qui figurait dans l’accord de majorité de la Région bruxelloise. Par contre, ce choix n’est pas suivi partout dans le reste de l’officiel lorsqu’il est organisé par les provinces : dans le Hainaut et à Namur, les règlements interdisent tout signe distinctif porteur de valeur religieuse. À Liège, le tribunal de Première instance a donné raison en 2016 à seize étudiantes en estimant qu’interdire, dans le règlement de la Haute École de la Province de Liège, le port du foulard d’une façon générale contrevient à leur liberté de religion.

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