Accueil Société Enseignement

Signes convictionnels dans le supérieur: «Je ne voulais pas changer de choix d’études»

Depuis cette rentrée, les signes convictionnels sont autorisés dans l’enseignement supérieur organisé par Wallonie-Bruxelles Enseignement. Pour Samar, Sada et Laila, la levée de l’interdiction a permis d’effectuer plus librement leur choix de haute école.

Article réservé aux abonnés
Journaliste au service Forum Temps de lecture: 3 min

Les cendriers, les gourdes et les smartphones ont envahi les tables en bois devant l’entrée de l’école. Niché à l’orée d’un petit parc, le campus de l’ISES (Haute École Bruxelles-Brabant) retrouve ses étudiants après une année de cours en distanciel. Mais au-delà des règles covid, la nouveauté pour tous les établissements de l’enseignement officiel supérieur, c’est surtout la première rentrée où le port des signes convictionnels est autorisé.

Cet article est réservé aux abonnés
Article abonné

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

Avec cette offre, profitez de :
  • L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
  • Le journal en version numérique
  • Un confort de lecture avec publicité limitée

Le fil info

La Une Tous

Voir tout le Fil info

2 Commentaires

  • Posté par LIENARD NORBERT, mercredi 15 septembre 2021, 6:05

    Elles peuvent toujours aller étudier dans des universités en pays musulmans comme cela elles auront le libre choix d études

  • Posté par had rach, vendredi 17 septembre 2021, 12:08

    Elles sont pour la plupart nées en Belgique, donc pourquoi aller dans un autre pays...

Aussi en Enseignement

Voir plus d'articles

Le meilleur de l’actu

Inscrivez-vous aux newsletters

Je m'inscris

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs