Signes convictionnels dans le supérieur: «Je ne voulais pas changer de choix d’études»
Depuis cette rentrée, les signes convictionnels sont autorisés dans l’enseignement supérieur organisé par Wallonie-Bruxelles Enseignement. Pour Samar, Sada et Laila, la levée de l’interdiction a permis d’effectuer plus librement leur choix de haute école.


Les cendriers, les gourdes et les smartphones ont envahi les tables en bois devant l’entrée de l’école. Niché à l’orée d’un petit parc, le campus de l’ISES (Haute École Bruxelles-Brabant) retrouve ses étudiants après une année de cours en distanciel. Mais au-delà des règles covid, la nouveauté pour tous les établissements de l’enseignement officiel supérieur, c’est surtout la première rentrée où le port des signes convictionnels est autorisé.

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)
Avec cette offre, profitez de :
-
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction -
Le journal en version numérique -
Un confort de lecture avec publicité limitée
Pour poster un commentaire, merci de vous abonner.
S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Elles peuvent toujours aller étudier dans des universités en pays musulmans comme cela elles auront le libre choix d études
Elles sont pour la plupart nées en Belgique, donc pourquoi aller dans un autre pays...