A propos d’un racisme inversé
Les idées du mouvement « Les indigènes de la République » essaiment peu à peu.

Ce sont des colonisés de l’intérieur. Vivant, malgré eux, dans un pays qu’ils récusent. Chez l’ennemi en quelque sorte. S’y intégrer s’apparenterait donc, à leurs yeux, à une trahison, car les guerres de libération se poursuivent sous d’autres formes. Guerres de races quasiment assumées par ce mouvement, créé il y a une quinzaine d’années, qui s’intitule « Les indigènes de la République », et dont les idées « sécessionnistes » essaiment peu à peu y compris aux franges de l’extrême gauche.
Le mot « race » vous fait bondir. Légitimement. Or, voilà ce que la responsable et porte-parole de ce mouvement, Houria Bouteldja, écrit dans un ouvrage qu’elle vient de publier « j’appartiens à ma famille, à mon clan, à mon quartier, à ma race, à l’Algérie, à l’islam ! ».
A tout, sauf à la France, sauf à l’humanité.

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S'abonnerQuelques règles de bonne conduite avant de réagir2 Commentaires
Cette femme devrait être déchue de la nationalité française et expulsée vers le pays auquel elle jure allégeance : l'Algérie. Si le respect est du à ceux qui viennent chez-nous, il nous est tout autant du !
Oui ,existent ,deux modes ;les harcelés deviennent harceleurs: et l'ostracisme appelle un ostracisme inverse du précédent Chacun d'entres nous devra t-il choisir son camp ? Si oui ,cela promet indubitablement !! Et encore une fois :la tendance 50% versus 50 % se renforce