Faouzia Charfi: «La rupture entre l’islam et les sciences est nécessaire»
Faouzia Charfi, professeure à l’Université de Tunis, revisite dans « L’islam et la science » l’histoire des sciences en pays d’islam, de l’ouverture à l’assujettissement à des fins pratiques et religieuses.


Faouzia Charfi trace dans son dernier essai L’islam et la science. En finir avec les compromis, publié chez Odile Jacob, l’évolution de l’enseignement des sciences dans les pays du monde musulman : les avancées réalisées par les savants, le déclin des sciences arabes et les limites des réformistes musulmans qui ont fait le choix de la conciliation entre l’islam et la science. La physicienne et professeure à l’Université de Tunis dénonce la tromperie de l’islamisation des connaissances et appelle à une séparation entre la sphère religieuse et la sphère scientifique.
Vous détaillez, dans un long récit, les relations entre la science et l’islam. Après une science arabe foisonnante, pourquoi un déclin s’opère-t-il au XIe
siècle ?

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir1 Commentaire
Un très grand merci Madame Faouzia Charfi pour votre vision éclairée et lucide de la laïcité.