Viager, faux viager, happy viager... Une formule et des alternatives
Le concept de la vente en viager n’est pas toujours évident à saisir. D’autant que d’autres solutions proches sont apparues.

Petit rappel théorique : lors d’un viager, un propriétaire vend son bien à un acheteur moyennant un prix composé d’un capital (le bouquet) et d’un montant mensuel (la rente). Dans 80 % des cas, ledit propriétaire sortant (le crédirentier) continue d’occuper le bien. Il peut aussi le libérer dès l’acte au profit de l’acheteur (le débirentier).
Quasi toujours, ce propriétaire sortant est une personne âgée. Avantage pour elle : continuer à occuper son logement tout en le valorisant financièrement. Donc en engrangeant le petit capital au début du contrat et en percevant la rente au fil des mois. Cette rente, indexée et non taxée, vient compléter sa pension. Autrefois, elle était payable jusqu’au décès. Aujourd’hui, une durée limite est souvent rajoutée dans le contrat. Par exemple, 15 ou 20 ans. En ce sens, le viager classique a été modernisé.

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