Carte blanche: quel avenir pour les journalistes en Afghanistan?
La FIJ interpelle l’Unesco et les Nations Unies sur la situation des journalistes en Afghanistan, qui continuent à travailler au péril de leur vie.

Tout changer pour ne rien changer. Telle pourrait être le nom de la cynique opération de communication du nouveau gouvernement taliban en Afghanistan.
Deux semaines à peine après le 31 août 2021, date retenue par l’administration américaine pour quitter le territoire afghan, le ministère des Affaires féminines a été remplacé par celui de la Promotion de la vertu et de la Prévention du vice dans un gouvernement ne comptant plus aucune femme. Un relent nauséabond de leurs années d’apprentissage du pouvoir, entre 1996 et 2001. Les femmes ne peuvent désormais quitter le foyer familial que pour se rendre à la mosquée
Après les femmes, les journalistes
Il y a quelques jours, Qari Muhammad Yousuf Ahmadi, directeur par intérim du Centre d’information et des médias du gouvernement (GMIC) et porte-parole de longue date des talibans, a dévoilé 11 règles pour les journalistes.

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S'identifier Créer un compteQuelques règles de bonne conduite avant de réagir3 Commentaires
En Afghanistan, il n'y a plus d'avenir que pour l'islam, l'obscurantisme et la misère.
@ Monsieur Alain Pourquoi NOTRE échec collectif? Nous ne somme pas responsables des convictions religieuses des Afghans.
Hélas oui et nous ne pouvons faire autrement que de détourner le regard de notre échec collectif tandis que l'oubli viendra pour préserver notre santé mentale. "Il y a quelque chose de pire que d'échouer, c'est de ne pas avoir essayé" (d'après Churchill). Bon ben, ça c'est fait. Maintenant basta !